Je m'échappe. (est-ce que j'ai commencé tous ces derniers textes ainsi?, ce n'est pas s'échapper en vérité, c'est s'arracher au mouvement permanent, les pieds bras et voix qui jamais ne se reposent, restent en suspens), mais ce n'est pas moi qui pars...

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(J'arrive à m'échapper, un moment loin d'eux pour écrire respirer: bureau bruyant d'une MJC à... Où sommes-nous encore?... Villes et villages de sentiers en nationales défilent si vite j'en perds la couleur du temps et la géographie... Je cherche autour...

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Nos retrouvailles ne cessent d’être repoussées... Souffreteuse sur genoux vacillants je me traîne du côté de la rue Baudelique, "la base", et tandis que leur chemin se décide à hauts cris en salle de réunion, je fais avec mon ami le griot silencieux quelques...

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Je m’endors et m’éveille dans la pensée d’eux ; la force qui va… Leurs voix viennent de plus loin et cognent dans l’esprit, traînantes et rapides, aux accents différents (y’en a marre!… y’en a marre!… y’en a marre!…) - Il y a quelques jours s'ajoutait...

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(écrire : de la vie en mots arrachée à la vie marcheuse, musique qui se déploie en variations, comme le poème symphonique des ronflements...) Partant de Paris nord croisement des lignes rose et verte, la vague noire roule vers la République... des drapeaux...

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